
Parmi les exemples de trajectoires lancées concrètement pour l’entreprise : grandir sans grossir !
« Je considérais qu’en tant qu’entreprise de production, plus nous allions produire et plus nous allions démultiplier nos impacts, donc plus nous allions générer des écarts au niveau des limites planétaires. »
L’entreprise se concentre aujourd’hui sur des chantiers situés à une heure maximum autour du siège et envisage de limiter ses équipes à une centaine de collaborateurs.
Pour pouvoir continuer à se développer, ERB fait le choix de basculer son modèle sur celui de l’économie de fonctionnalité et de coopération. L’entreprise investit dans des entreprises satellites (entreprises traditionnelles et start-ups), rassemblées en un hub de performances pour la construction, favorisant ainsi une coopération transversale et un partage d’expérience. Résultats attendus : une performance augmentée pour l’usager, une valeur ajoutée client améliorée et une pérennité des différents acteurs assurée.

En 2018, Thomas GRENOUILLEAU reprend les rênes d’ERB créée en 1992, entreprise traditionnelle de gros œuvre dont le modèle repose sur la vente en volume de béton, d’aciers, … Un modèle économique à l’image du modèle dominant de notre système actuel, consumériste et financiarisé, qu’il juge caduc, entrainant une perte de qualité assez massive et abyssale, une absence de sens pour les salariés, une augmentation des difficultés relationnelles avec un silotage fort, une sous-traitance en chaîne…



